Les amendes ne suffisent plus. Face au quasi-monopole que le moteur de recherche fait peser sur la publicité numérique, les autorités de la concurrence devront exiger qu’il cède certaines de ses activités, estime Fiona M. Scott Morton, une économiste réputée. Ancienne économiste en chef de la section antitrust du "Department of Justice" américain, la professeure Fiona M. Scott Morton enseigne l'économie de la concurrence à la prestigieuse université de Yale aux Etats-Unis. Dans une récente étude, cosignée avec le consultant David C.
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Petites ou grandes, elles ont su dépasser la crise , voire parfois en profiter. Dans la foulée, elles prévoient des dizaines de milliers de créations de postes. En ces temps de plans sociaux et de gel des salaires, voilà au moins qui est rassurant : non, le marché de l’emploi n’est pas figé ! Bien sûr, la rentrée sociale s’annonce difficile, mais bon nombre d’ entreprises maintiennent, voire amplifient leurs plans de recrutement, offrant des solutions de rebond partout en France. Cap Ingelec figure dans ce classement publié sur le site de CAPITAL !
L’article de Capital.fr s’intitule “ De Lille à Nice , ces 100 entreprises recrutent malgré la crise ” et Speechi est citée parmi les entreprises du Nord-Ouest qui continuent leurs efforts de recrutement. Nos objectifs pour la rentrée sont de développer notre force commerciale en France et à l’international en recrutant notamment un commercial sédentaire pour la France, un commercial sédentaire bilingue ainsi qu’un responsable e-commerce. Nous cherchons aussi à consolider nos équipes logistique et marketing en recrutant un responsable produit, un chargé de logistique.
En ces temps de plans sociaux et de gel des salaires, voilà au moins qui est rassurant : non, le marché de l’emploi n’est pas figé ! Bien sûr, la rentrée sociale s’annonce difficile, mais bon nombre d’entreprises maintiennent, voire amplifient leurs plans de recrutement, offrant des solutions de rebond partout en France. Ce sont ces grands groupes aux besoins toujours importants (La Poste, SNCF…), mais aussi une flopée de PME plus discrètes qui ont su dépasser la crise ou, mieux encore, en profiter… les éditeurs de logiciels de télétravail, s’il ne fallait citer qu’un exemple. Du numérique aux énergies renouvelables en passant par la grande distribution, des dizaines de milliers d’emplois sont ainsi à pourvoir. Et si l'Ile-de-France offre de nombreux postes, les régions Nord, Grand-Est ou encore Sud-Ouest ne sont pas avares non plus. Managers, développeurs, ingénieurs, commerciaux… Tour de France des profils recherchés.
Certains secteurs d'activité (automobile, distrobution, companies aériennes) paient un très lourd tribut à la crise, en matière d'emploi.Deux grandes compagnies latino-américaines, la chileno-brésilienne LATAM et la colombienne Avianca, se sont placées en mai sous la protection de la loi américaine sur les faillites. Plus petites, les sud-africaines South African Airways et Comair, la britannique Flybe ou les branches autrichienne et française de Level (IAG) ont été emportées. En dépôt de bilan, le géant australien Virgin Australia a été racheté par une société américaine.
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De Lille à Nice , ces 100 entreprises recrutent malgré la crise . 10 bonnes raisons de créer votre entreprise malgré la crise . Vous lisez actuellement : Ces entreprises qui recrutent malgré la crise . Nous vous recommandons : Toutes nos dernières actus dans votre boîte mail. Recevez notre newsletter MANAGEMENT.
protecteur du peuple, obligé à trouver des solutions pour les crises et les risques (naturels, technologiques, sanitaires). Le début de l’année 2020 est marqué par la crise sanitaire de. Covid-19. Cette crise a causé différentes conséquences économiques et surtout juridiques. L’Etat est au début une personne publique : une personne morale de droit public, et qui. constitue, avec les collectivités publiques locales et les établissements publics (aussi les. entreprises publiques), le secteur public économique.
L’opérateur a démarré l’été avec l’embauche massive d’un millier de personnes en CDD pour ses boutiques. D’ici douze mois, il recrutera, en CDI cette fois, 380 ingénieurs (réseau et informatique), essentiellement au technopôle de Meudon-la-Forêt, mais aussi à Nantes.
Pour compenser la baisse d’activité durant le confinement, de nombreux commerçants ont ouvert des espaces dédiés sur cette plateforme de vente en ligne. Dans ces conditions, Rakuten s’apprête à recruter environ 200 personnes, principalement des commerciaux et des experts en data.
Ce spécialiste de l’intelligence artificielle (IA) et de la gestion de data va embaucher une quinzaine de commerciaux et d’ingénieurs, payés de 45.000 à 60.000 euros par an. La moitié sera basée en Ile-de-France et l’autre sera en télétravail… un peu partout dans le monde !
En contrepartie de la réduction de coûts salariaux, Lufthansa ne procédera à aucun licenciement sec pour ses pilotes avant avril 2021, suite à la conclusion d'un accord.Cet plan, valable jusqu'à la fin de l'année, prévoit "que les licenciements secs [de pilotes]" soient menés "au plus tôt au deuxième trimestre 2021", soit début avril. En contrepartie, les pilotes s'engagent à la réduction de certains revenus et gratifications. Des hausses de salaires négociées pour 2020 seront par ailleurs décalées à 2021, ajoute le groupe. Lufthansa a toutefois averti que le "nombre de licenciements secs ne pourra être limité qu'avec un accord de long terme".
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Un certain nombre d’ entreprises s’apprêtent à lancer des campagnes de recrutement. Elles sont convaincues que la conjoncture va s’améliorer. Ty - stock.adobe.com. DÉCRYPTAGE - Elles ont bien résisté à la pandémie ou se préparent au redémarrage. En dépit de la crise sanitaire et économique, bien des entreprises continuent à lancer de vastes plans de recrutement. Ce sont souvent celles qui ont réussi à tirer leur épingle du jeu l’an dernier, grâce à l’essor de l’e-commerce ou aux nouvelles tendances de consommation qui rebattent les cartes dans l’économie.
D'autres entreprises continuent également de recruter . Ainsi, Lefigaro.fr dévoile les prévisions de 140 sociétés qui prévoient 170.000 embauches en 2013. Pour la quatrième année consécutive, c'est le géant de la restauration rapide, McDonald's qui arrive en tête des prévisions d'embauches avec une perspective de 29.400 CDI (pas toujours à temps plein, il est vrai) et 44. 100 tous Last but not least, la filière un peu méconnue de l'industrie mécanique (FIM) prévoit, malgré la crise 40.000 embauches nettes par an d'ici à 2017 dont 30% à 40% de jeunes, tous niveaux de qualifications confondus.
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Avec 80 salariés en France, cette entreprise californienne fournit des solutions de communication, collaboration et cloud. D’ici la fin de l’année, elle compte recruter 20 commerciaux et développeurs à Paris ou en travail à distance.
Née en 2018, à Saint-Ouen, cette société de réparation d’électroménager à domicile emploie déjà 85 personnes et compte en intégrer 95 de plus d’ici le printemps prochain.Ce plan de recrutement doit permettre l’ouverture d’antennes à Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes et Rennes.
Spécialiste des solutions de digitalisation, de télétravail ou de sécurisation des accès Internet, cette société a vu son activité boostée par la crise. Elle prévoit d’embaucher une quarantaine d’ingénieurs et de commerciaux, à Paris et Rennes, mais aussi, à la marge, aux Etats-Unis et en Espagne. Une quinzaine d’alternants sont également attendus.
Ce recul "représente aisément la plus lourde chute trimestrielle depuis la crise financière mondiale", note un rapport de la société de gestion Janus Henderson Investors publié ce lundi, et qui prévoit pour l'ensemble de l'année 2020 une baisse de 17% à 23% des dividendes mondiaux. Ils devraient tout de même représenter un montant global de 1.100 milliards à 1.180 milliards de dollars. Janus Henderson analyse les dividendes versés à date par les 1.200 plus grandes entreprises mondiales en termes de capitalisation boursière.
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Les économistes Olivier Blanchard et Charles Wyplosz imaginent les 100 premiers jours d'un quinquennat de Jean-Luc Mélenchon comme un cauchemar, avec une France précipitée dans la crise financière et économique. / De Lille à Nice , ces 100 entreprises recrutent malgré la crise .
Equipements de manutention, systèmes de stockage… ce groupe allemand équipe les usines en outils logistiques. Alors que ses clients reprennent leur activité en France, il cherche des fonctions support pour son site de Vélizy-Villacoublay, et, dans le reste de la France, des techniciens de maintenance ou des chargés d’affaires. Une cinquantaine de postes à pourvoir.
Ce cabinet de conseil en transformation numérique est présent à Paris, Lyon, Lille, Bruxelles et Londres. Mais c’est essentiellement en région parisienne qu’il recherchera, d’ici un an, pas moins de 250 nouveaux collaborateurs, jeunes diplômés ou plus expérimentés, pour suivre son plan de développement décidé avant le confinement et tout juste réduit de 15%.
Centrée sur la sécurité de l’utilisation des cryptomonnaies par les particuliers, cette start-up a vu rappliquer nombre d’investisseurs pendant et après le confinement, soucieux de protéger une partie de leurs économies. Elle cherche une vingtaine de personnes pour compléter ses effectifs (déjà à 200 salariés).
Les décrets d’application de l’aide à l’embauche d’alternants ont été publiés ce mardi 25 août. Bonne nouvelle : contrairement à ce qui était prévu initialement, les apprentis et les salariés bénéficiant d’un contrat de professionnalisation en niveau master y sont également éligibles. C’est officiel. Annoncée le 4 juin dernier par le ministère du Travail, l’aide à l’embauche d’alternants est désormais effective grâce à la publication de deux décrets au Journal officiel, ce mardi 25 août : le premier concerne les apprentis et le second les salariés bénéficiaires d’un contrat de professionnalisation.
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Le géant du covoiturage a été obligé de marquer une sérieuse pause pendant le confinement. S’il a revu ses plans de recrutement à la baisse, il prévoit toutefois la création de 65 postes d’ici la fin de l’année, surtout dans l’équipe tech, et essentiellement au siège parisien.
Prudente après la crise, cette plateforme européenne de data marketing revoit son nombre de recrutements, mais recherche tout de même 20 cadres avant la fin de l’année, surtout au siège de Fontenay-sous-Bois, puis autant au premier semestre 2021.
Entre autres outils de transformation numérique, cette start-up apporte une solution à la continuité d’activité à distance. De quoi lui garantir une certaine croissance en ces temps de télétravail : elle table sur 40 recrutements à Neuilly-sur-Seine, mais aussi 10 au Royaume-Uni, et 20 aux Etats-Unis.
Cette entreprise parisienne développe une solution de gestion d’appels et de mails pour professionnels. Ces prochains mois, elle table sur le recrutement de 25 ingénieurs, développeurs et commerciaux, en France principalement. Possibilité d’évolution à l’international (Londres, Milan, Madrid et Berlin).
PSA Sochaux recrute 1.000 intérimaires pour hisser son activité à ses niveaux d'avant crise. Le site va reconstituer une équipe de nuit sur sa ligne de montage des Peugeot 3008 et 5008 et de l’Opel Grandland X, ainsi qu’une demi-équipe supplémentaire de jour pour la fabrication de la 308. Bonne nouvelle sur le front de l'emploi ! Afin de retrouver le niveau de production d'avant la crise sanitaire et économique, l’usine PSA de Sochaux (Doubs) recrute un millier d’intérimaires d’ici à la fin de la semaine prochaine, a indiqué la direction.
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Cette entreprise de la Silicon Valley, spécialisée dans le cloud, emploie près de 140 personnes en France, à La Défense. Elle recrute en général une dizaine de collaborateurs par an, et compte en faire autant cette année, essentiellement des ingénieurs avant-vente et des commerciaux.
Une cinquantaine d’informaticiens et de commerciaux sont attendus dans les rangs de cette société du numérique, concentrée sur l’archivage et la protection des données. A Massy surtout, mais aussi
à La Ciotat ou à Orléans.
Située à Lille, avec des bureaux à Paris et à Bruxelles, la société produit des écrans interactifs pour les écoles ou les entreprises. Boostée par une forte reprise post-crise, elle cherche à embaucher 10 personnes, en développement produit, IA et communication.
En 2016, cette start-up a mis au point un dispositif pour collecter et analyser en temps réel les durées et lieux d’utilisation de matériel agricole partagé. Le succès ne faiblit pas, elle cherche donc 21 nouveaux collaborateurs au siège de Lille (vente, marketing, développement logiciel, support et électronique), et deux commerciaux au Canada.
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Le confinement imposé a profité au spécialiste européen de l’e-learning. Plus de 50 postes sont à pourvoir en France d’ici la fin de l’année : surtout des conseillers d’étude à Valenciennes, mais aussi des coachs et des tuteurs au siège de Montrouge. A noter aussi l’ouverture d’une trentaine de postes en Espagne, après l’ouverture d’une plateforme à Séville.
Le financement participatif, et notamment le crowdfunding immobilier, n’a cessé d'évoluer au cours des années. Une mutation qui se poursuit en période de crise sanitaire et qui devrait bénéficier aux porteurs de projet comme aux investisseurs selon notre chroniqueuse Céline Mahinc, fondatrice du cabinet Eden Finances. “Finance” vient étymologiquement de l'ancien verbe finer qui signifiait finir, terminer. Et c’est bien dans ce cadre qu’est né le 1er projet de crowdfunding, mariage de “foule” et “financement”.
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Le principal site industriel ferroviaire français, qui conçoit, construit et met en service une large gamme de matériels pour les régions, a des commandes à honorer : il recherche une centaine d’ouvriers, 12 techniciens et cadres en production, auxquels s’ajoutent 36 cadres en ingénierie, gestion de projets et fonctions support, 5 techniciens en garantie et une trentaine d’apprentis.
Pionnière dans l’élevage et la transformation d’insectes pour l’alimentation animale, la société va ouvrir un deuxième site de production à Nesle, dans la Somme, et prépare aussi son déploiement à l’international. Deux projets qui nécessitent l’embauche de 50 personnes d’ici décembre, à des postes d’ingénieurs, de commerciaux, de RH…
Rouvert en juin, le parc d’attractions compte réaliser 2 .100 embauches sur un an, essentiellement en CDD. Principalement dans la restauration, l’hôtellerie et la technique (électrotechniciens, électromécaniciens, maintenance des bâtiments).
La société recherche des conseillers clients dans de nombreux secteurs (énergie et services, télécoms et médias, commerce de détail, services publics ou banque et assurance). D’ici l’été prochain, 1 .000 postes seront créés, en CDI et CDD, dont la moitié sur ses sites les plus récents, à Tourcoing et Chalon-sur-Saône.
Les 56 sites industriels de l’entreprise sont pilotés depuis le siège de Villeneuve-d’Ascq, où 19 postes sont ouverts (plus 2 stages et 4 alternances), en finance, commerce, responsabilité sociétale des entreprises (RSE), achats, innovation et informatique. Sur le reste du territoire, sont recherchés 7 cadres, coordinateurs et techniciens, et une quarantaine d’ouvriers.
Les assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance devront s'acquitter d'une "contribution exceptionnelle" de 1,5 milliard d'euros en 2021 et 2022, pour compenser les économies de plus de 2 milliards qu’elles ont réalisées durant la crise sanitaire avec la chute des dépenses de santé. La crise a-t-elle été si profitable aux assureurs et mutualistes ?Le scénario d'une "contribution exceptionnelle" visant à récupérer le pactole amassé par les assureurs et mutuelles est acté depuis début août.
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Ce groupe conçoit, construit et exploite des réseaux très haut débit pour des opérateurs téléphoniques. Il devrait embaucher 80 personnes avant la fin de l’année, ingénieurs, techniciens de maintenance, conducteurs de travaux ou géomaticiens. La moitié au siège de Val-de-Reuil, dans l’Eure, les autres dans ses 24 agences de France.
La société spécialisée dans la nourriture pour animaux plutôt haut de gamme n’a pas marqué la moindre pause pendant le confinement : la demande est restée constante. Sa centaine d’embauches programmées, à Vire-Normandie, est maintenue. A pourvoir en ce moment.
Créée en 2010, l’enseigne de cigarettes électroniques prévoit l’ouverture de 50 boutiques d’ici 2022. Elle compte déjà recruter une quinzaine de personnes ces prochains mois. Au siège de Cherbourg-en-Cotentin, pour assurer les fonctions support ou la vente en ligne, mais aussi en boutiques.
Le groupe industriel, spécialisé dans le travail du métal, réalisera une quarantaine de recrutements d’ici décembre : des ingénieurs, dessinateurs, projeteurs, chaudronniers, soudeurs et techniciens de maintenance. La moitié ira dans le Cotentin, au siège de La Hague ou dans les sites alentour.
Ce centre de relation client basé au Havre, certifié Great Place to Work, devrait créer une cinquantaine de postes : des chargés de clientèle, dont le salaire démarre à 1. 600 euros brut (plus variable). Il travaille principalement pour des acteurs de l’énergie, de l’habitat ou d’Internet.
Entre son siège de Sottevast et son site de fabrication à Méautis, la coopérative agricole prévoit en ce moment l’embauche de 33 personnes, dont 5 cadres, dans La Manche. A la production ou dans les équipes commerciales. Les spécialités de l’entreprise ? Fromage frais, lait infantile ou beurre AOP.
Spécialisée dans la téléconsultation médicale, cette start-up est sortie du confinement en pleine forme. Elle prévoit une vingtaine d’embauches au siège : 10 développeurs, 6 commerciaux, et les autres en fonctions transversales.
Profil spécifique recherché ! Alors que cette société de travaux marins a investi 7 millions d’euros dans la construction d’un catamaran pour intervenir sur les éoliennes au large, elle recrute huit scaphandriers et marins, avant mai 2021, aux Sables-d’Olonne (2. 000 à 4 .500 euros net mensuels). Deux scaphandriers supplémentaires sont attendus pour d’autres missions.
La start-up nantaise s’apprête à lancer, avant la fin de l’année, une nouvelle solution d’emballage connectée et sécurisée, The Box, prévue pour générer très peu de déchets. Pour assurer cette sortie, elle veut recruter six ingénieurs concepteurs, deux développeurs, deux commerciaux et une quinzaine de personnes en production et logistique.
Dans ce groupe choletais spécialiste de la mesure du temps, où l’on fabrique aussi bien des horloges que des logiciels RH, les 780 collaborateurs s’apprêtent à accueillir 45 nouveaux collègues, au plus tôt. Des consultants en formation ou techniciens en électromécanique, surtout.
Sortie renforcée de la crise, cette jeune société nantaise, spécialiste de la livraison collaborative entre particuliers, veut recruter au plus vite 6 développeurs et commerciaux, puis une quinzaine d’autres avant fin décembre. En 2021, 15 embauches sont prévues pour accompagner le développement européen.
Début 2021, l’entreprise familiale ouvrira une nouvelle usine de lait infantile, à Landivisiau (Finistère). Elle compte donc embaucher d’ici décembre 40 conducteurs de ligne et techniciens qualité et maintenance.
Aidée par la généralisation du télétravail, cette société rencontre un franc succès avec son dispositif d’alarme pour salariés isolés. Elle vient d’ouvrir 13 postes de commerciaux, techniciens et développeurs à Tours, Nantes et Bordeaux.
Le spécialiste de cybersécurité a maintenu ses embauches pendant le confinement et compte encore réaliser près de 50 recrutements d’ici douze mois. 30 postes de commerciaux et de chercheurs en IA sont déjà ouverts à Rennes et à Paris, mais aussi à Tokyo, Singapour ou San Francisco.
Pour assumer une croissance de 40% par an, ce spécialiste de la sécurité informatique a déjà recruté 20 personnes en début d’année et recherche 25 nouveaux développeurs, ingénieurs et commerciaux.
Les consultants du groupe breton opèrent dans de nombreux secteurs, du génie électrique à l’automation. 30 recrutements sont prévus, répartis sur les trois sites bretons de Betton, Lamballe et Locminé.
Spécialisée dans la distribution de vidéo sur des plateformes de VOD ou de streaming, la start-up située près de Rennes, très dynamique, veut recruter une dizaine d’ingénieurs en R&D logiciel et d’ingénieurs système. D’ici cette fin d’année.
Accompagnant les hôpitaux et les cliniques dans leur transformation digitale, l’entreprise recherche en permanence des développeurs, architectes et ingénieurs réseau, à Rennes, Nanterre, ou en télétravail :
une vingtaine de postes seront ouverts d’ici décembre.
La mission de Switch Up ? Améliorer l’intégration des nouveaux arrivants sur un territoire, souvent en mobilité professionnelle. L’entreprise s’est illustrée pendant le confinement avec une plateforme permettant aux agriculteurs de trouver plus facilement des saisonniers. En plein développement, elle compte recruter une douzaine de personnes, essentiellement des commerciaux mais aussi un ou deux développeurs informatiques.
Connue pour un étonnant métier – offrir aux constructeurs automobiles et à leurs réseaux des technologies pour des photos de qualité –, cette jeune pousse se développe et souhaite embaucher 15 profils, techniques ou commerciaux, avant la fin de l’année.
Voilà un positionnement porteur. Cette PME conseille des institutions dans la transition énergétique, écologique et numérique des bâtiments et des territoires. Elle a besoin de recruter 60 ingénieurs au siège de Nantes, mais aussi dans des agences de Paris, Bordeaux, Strasbourg, Lyon, Lille et Marseille.
Avec 96 unités de production, le groupe est un expert dans la transformation de nutriments. Il prévoit un vaste plan de 350 recrutements d’ici la fin décembre, surtout pour accompagner son développement commercial mais aussi l’innovation… Essentiellement au siège de Saint-Malo.
Cette chaîne de 86 magasins, de bricolage et d’outillage pour la maison et le jardin, a vu ses ventes bondir pendant le confinement. Conséquence immédiate, depuis son siège aux Ponts-de-Cé, elle cherche, surtout dans le Grand Ouest, une quarantaine de vendeurs, et trois ou quatre directeurs de magasin.
Depuis son siège de Rennes, le marchand de poêles à bois et à granulés, déjà très implanté sur la côte atlantique, prépare son expansion. Sont prévues des ouvertures de boutiques en Normandie, dans le Grand Paris ou encore en Rhône-Alpes. Aäsgard table ainsi sur le recrutement de 75 à 85 vendeurs et directeurs de magasin.
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Durant la crise, le fabricant de panneaux solaires n’a ralenti ni sa production, ni ses ventes, ni ses embauches. Il accueillera 16 nouvelles recrues avant la fin de l’année : 5 au siège de Roquefort, près d’Agen (profils financiers), 4 à Nîmes (en maintenance et support) et 7 à l’étranger.
Cette année encore, la coopérative agricole basée à Castelnaudary opère un large plan de recrutement, notamment pour compenser des départs à la retraite. Avec 160 CDI, 310 CDD et 60 contrats d’alternance à pourvoir.
Ce site mettant en lien pharmacies et patients, autorisé à vendre en ligne des médicaments sans ordonnance, n’a pas tant profité du Covid-19. Freiné par le confinement, il continue d’embaucher, mais moins que prévu : 7 à 10 commerciaux et ingénieurs Web.
Le fabricant de selles d’équitation sur mesure cherchera 20 à 25 personnes ces prochains mois. Des profils variés : commerciaux, ingénieurs, chefs de projet et managers, mais aussi un peu en production.
L’entreprise agenaise propose des solutions de biogaz et d’électricité. Agile durant la crise, elle maintient ses prévisions d’embauche, avec 15 recrutements sur ses sites de production dans le Lot-et-Garonne et en Vendée, et autant à Agen, en R&D ou commerce international.
Outre un directeur des achats et trois responsables de magasin (à Portet-sur-Garonne, Vitrolles et Emerainville), le vendeur de piscines veut recruter 57 vendeurs et magasiniers dans ses 113 boutiques de France. A partir de janvier, il recherchera aussi une trentaine d’agents
en logistique dans ses entrepôts de Toulouse.
Installée sur un secteur très dynamique, la création de data centers, l’entreprise de Saint-Jean-d’Illac veut recruter 23 salariés, surtout des consultants, mais aussi en RH, comptabilité et finance.
Plutôt spécialisée dans la sonorisation de lieux publics, la société montalbanaise lance une toute nouvelle activité de prothèses auditives, à Cahors. Pour cela, elle embauchera une trentaine de personnes d’ici douze mois (et 150 d’ici à 2028).
Si le centre chargé du programme spatial français ne prévoit pas de créations de postes, la pyramide des âges parmi ses ingénieurs et cadres offre de belles opportunités. D’ici décembre, le Cnes cherche encore 55 personnes, dont 40 à Toulouse, 10 à Kourou (Guyane) et 5 à Paris.
Ce regroupement d’opérateurs intégrateurs de téléphonie, qui vend des solutions aux installateurs de fibre, s’est lancé en début d’année, à Perpignan. Il cherche, depuis la sortie du confinement, à s’étendre. Dès septembre, la société embauchera 20 techniciens télécoms dans ses agences de Perpignan, Narbonne, Carcassonne et Montpellier. Elle en recrutera autant en Aquitaine et en Paca à partir de 2021.
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Ces douze prochains mois, cet éditeur de logiciels pour l’agriculture compte recruter une quarantaine d’informaticiens à fort potentiel, et une dizaine de commerciaux pour pousser la vente à l’international. Il est implanté près de Montpellier, à Rennes et à San Francisco.
Dans son atelier situé à trente minutes au nord de Montpellier, la société de reconditionnement d’appareils électroniques créera 30 postes d’ici l’été. Sont recherchés : 20 opérateurs techniques de production et 10 personnes en support.
Voilà une idée écolo qui a de l’avenir : transformer des containers en bâtiments. Pro de l’exercice, Everlia créera une nouvelle usine début 2021 près de Béziers, et compte y embaucher 60 personnes, notamment des ingénieurs et architectes.
Très réactive durant le confinement, cette start-up, éditrice de Woosmap, une appli de géolocalisation partenaire de Google Maps, a créé des sites de référencement de commerces de proximité en Italie, en France et au Royaume-Uni, tout en continuant à renforcer ses projets en cours. En forme, elle prévoit toujours de recruter 25 ingénieurs d’ici un an (13 au siège de Montpellier, 6 à Boulogne-Billancourt, 6 à l’étranger).
Le leader des logiciels de transaction destinés aux agences immobilières indépendantes avait prévu presque une cinquantaine d’embauches en 2020… Il a revu ce chiffre à 30, dont une vingtaine sont encore recherchés, au siège d’Hyères, à Paris, ou en télétravail.
Depuis son siège marseillais, le spécialiste de l’aménagement numérique dirige plus d’un millier de collaborateurs en France, à Lille, Rambouillet, Versailles, Metz, Nantes, Lyon et Toulouse. Sur un an, il prévoit l’accueil de plus d’une centaine de techniciens, d’ingénieurs, de conducteurs de travaux, chefs de projet et chargés d’affaires, sur ses différents sites.
D’ici un an, cet organisme de formation continue à distance prévoit 40 embauches à Sophia-Antipolis, mais aussi à Nice, Paris et Lyon. Il va en outre recruter, partout en France, une vingtaine de formateurs et de coachs sur la même période.
Ce réseau d’agents immobiliers lancé au début de cette année se développe depuis le déconfinement et le retour des mandats. Il cherche surtout des commerciaux indépendants, mais va aussi ouvrir 80 postes en CDI à Nice avant la fin de l’année. Pour des informaticiens surtout, mais aussi des chefs de secteur.
Pendant la crise sanitaire, le groupe d’Aix-en-Provence a réussi à livrer, en moins d’une semaine, des solutions de suivi à domicile des patients suspectés d’être atteints du Covid-19. Après cette prouesse, poussé par ses clients, hôpitaux et cliniques, l’éditeur de logiciels lance un projet à 10 millions d’euros, visant à refondre le système d’information hospitalier. En découleront 50 embauches de développeurs, en plus des 25 recrutements prévus avant fin 2020 (10 développeurs et 15 consultants).
Spécialisée dans la production d’énergies renouvelables, la société marseillaise a prévu 40 à 50 recrutements dans ses différents bureaux également à Toulouse, Fontainebleau, Rennes, Dijon et Lyon.
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Le groupe de BTP rassemble 2. 500 collaborateurs, qui œuvrent sur les réseaux électrique et numérique, l’éclairage, le gaz, le chauffage et l’électricité. D’ici la fin de l’année, plus de 200 postes sont à pourvoir (dont 80 en Rhône-Alpes et 50 dans le Sud-Ouest) : des chargés d’affaires, chefs d’équipe, conducteurs de travaux, conducteurs d’engins et chefs de projet.
Le groupe lyonnais a fait de la fibre optique pour les data centers ou les industries sa spécialité. Il réalise 20% de son chiffre d’affaires à l’international et cherche encore à s’y développer. Il va ainsi recruter une centaine de personnes à l’étranger, mais aussi une dizaine de commerciaux au siège pour suivre la progression.
Concentrée sur l’IA dédiée à l’industrie, l’entreprise auvergnate a accusé une baisse d’activité durant le confinement qui l’oblige à revoir ses prévisions d’embauche. Elle souhaite tout de même consolider ses équipes en vente, marketing, et développement informatique, avec 20 personnes recrutées en France, et 5 à 10 aux Etats-Unis et au Brésil.
Les villages vacances ont bon espoir de retrouver une activité normale pendant l’hiver, leur saison la plus stratégique. Environ 1. 800 personnes sont recherchées dans les 18 resorts alpins (pilotés depuis Lyon), pour environ 120 métiers différents. Essentiellement en CDD.
L’assureur va déployer sa marque Celside Insurance dans les prochains mois en Europe. Il prévoit 1.000 signatures de CDI sur un an, dont 600 en France, pour réaliser le téléconseil, la formation, le marketing, l’informatique et le service juridique de ses assurances pour appareils multimédias.
La Compagnie nationale du Rhône a maintenu ses prévisions d’emploi classiques, de 50 personnes par an. Des managers techniques, en hydraulique, mécanique et génie civil.
Ce spécialiste des logiciels de gestion d’entreprise compte embaucher 100 personnes, principalement au siège lyonnais, d’ici un an.
A côté de Grenoble, ce réseau de cabinets d’audit, conseil, expertise comptable et ressources humaines va recruter une cinquantaine de personnes dans ses 11 bureaux rhône-alpins. Comme chaque année.
Le groupe allemand à l’origine du Thermomix vient d’ouvrir sa quatrième boutique française à Lyon et compte 13 agences locales en Auvergne-Rhône-Alpes, d’où sont pilotés ses vendeurs à domicile. D’ici la fin de l’année, il recrutera 35 CDI, surtout des responsables de secteur.
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Le fabricant de meubles sur mesure accueillera 30 nouvelles recrues d’ici décembre dans son siège alsacien, en maintenance, informatique, ou fonctions support. Sont aussi prévus, dans son réseau de 760 magasins, 900 à 1.000 recrutements de concepteurs vendeurs, sur une année glissante, partout en France.
Cette coentreprise de Metabolic Explorer et Bpifrance termine la construction de son usine de production sur la plateforme pétrochimique Chemesis, en Moselle. Elle y produira et commercialisera deux ingrédients d’origine naturelle destinés à la cosmétique, l’alimentation animale ou l’alimentation humaine. Une trentaine de postes sont à pourvoir d’ici mars 2021, principalement par des opérateurs de production.
Cette PME, qui développe robots, machines et équipements d’automatisation pour les usines 4.0, réalise plus de 60% de son chiffre d’affaires dans l’industrie médicale et pharmaceutique. En sortie de crise, elle revoit à la hausse son nombre de recrutements. Sont attendues une vingtaine de personnes (électromécaniciens surtout, et des encadrants), dont deux sur le site de Lyon et les autres au siège alsacien.
La Compagnie des transports strasbourgeois va encore embaucher, sur un an, au moins 80 conducteurs receveurs sur ses trois sites de production (Cronenbourg, Elsau et Kibitzenau). Seront aussi ouverts des postes techniques (électromécaniciens, carrossiers, maintenance…) ou de support (chefs de produit, agents de maîtrise…), dont le nombre n’est pas encore fixé.
Ce centre de relation client créé en 2000 compte encore recruter au moins 10 à 12 personnes, à Metz : des conseillers clientèle, dont certains devront parler flamand.
Cette chaudronnerie, sous-traitante dans de nombreux secteurs d’industrie, recherche actuellement une dizaine de personnes, surtout en main-d’œuvre, dans ses ateliers de Drulingen, en Alsace bossue.
Spécialisée en cybersécurité et en virtualisation des postes de travail, la start-up basée dans le Haut-Rhin a vu ses commandes augmenter ces dernières semaines. Elle prévoit donc de recruter avant la fin de l’année une quinzaine de consultants, chefs de projet, commerciaux et ingénieurs.
Le sous-traitant en médicaments possède 12 sites de production en France, où il compte maintenir son rythme de recrutement. Sont prévus 300 CDI et 250 CDD à des postes d’opérateurs, de conducteurs de ligne, techniciens, pharmaciens industriels et encadrants. Ses deux principaux sites d’accueil seront ceux d’Huningue (Haut-Rhin) et de Gaillard (Haute-Savoie).
Ce pro de l’hébergement informatique gère une trentaine d’agences en France, depuis son siège de Meurthe-et-Moselle, et compte y intégrer 80 à 100 ingénieurs et techniciens supplémentaires d’ici douze mois.
Le distributeur de quincaillerie professionnelle a vu ses parts de marché augmenter avec la crise. Pour les conserver, et assumer la croissance induite, il prévoit 80 recrutements d’ici un an. Des opérateurs-logistiques au siège de Saint-Julien-du-Sault, et, dans le reste de la France, des commerciaux itinérants, des chargés de clientèle ou des managers commerciaux.
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Cette filiale de Spie France, experte dans les réseaux énergétiques, numériques ou de transports, prévoit 120 embauches, assez bien réparties sur le territoire, d’ici la fin de l’année. Des monteurs, chefs d’équipe, techniciens ou responsables d’affaires.
Le géant français de la transformation digitale concentre ses recrutements sur des postes ciblés : data, cybersécurité, cloud, industrie 4.0 notamment. D’ici un an, elle compte intégrer 2 .000 CDI et 1.000 stagiaires et alternants, dont 40% en région parisienne, et le reste à Grenoble, Lyon, Toulouse et en Paca.
Le groupe continue ses embauches dans les mêmes proportions que les années précédentes : 8. 000 CDI et CDD, 3. 850 alternants, 3 .500 stagiaires. L’ensemble du territoire est concerné, mais la concentration est plus forte en Ile-de-France, Rhône-Alpes, Normandie et Centre-Val de Loire.
Banque, distribution des courriers, téléphonie mobile… Pour assurer ses multiples activités, La Poste recrute chaque année 5. 000 personnes environ en CDI. Au moins 4 .000 nouveaux contrats en alternance devraient également être proposés d’ici un an.
Soutenu par une demande de services à la personne en augmentation constante (ménage, soutien scolaire…), le groupe se prépare à intégrer, en France, environ 400 auxiliaires de vie, plus de 1.200 intervenants en garde d’enfants et 400 autres dans l’entretien à domicile.
Cette start-up, spécialisée dans le conseil en ingénierie, recherche 200 consultants à répartir dans une dizaine d’agences. Plusieurs fois récompensée du label Great Place to Work, elle peut mettre en avant la qualité de ses conditions de travail.
Comme chaque année, ce réseau d’environ 730 associations d’aide, de soin et de service à domicile veut recruter plus de 8.000 agents et employés, auxiliaires de vie sociale et aides-soignants. Salaire de départ pour ces derniers : . 592 euros.
L’enseigne poursuit son expansion en France, forte en 2019 et accélérée au début de cette année. Environ 3. 000 managers, opérateurs logistiques et équipiers polyvalents sont recherchés partout en France, en CDI.
Même s’il a légèrement raboté ses perspectives de recrutement, le groupe recherche, d‘ici la fin de l’année, 620 ingénieurs et chefs de projet, spécialisés dans le nucléaire, les énergies, les sciences de la vie, la pharmacie, le transport et le bâtiment. Dans toute la France.
Ce réseau associatif de services à la personne recrutera 9 .200 intervenants salariés sur l’ensemble du territoire d’ici l’été prochain : 1. 200 responsables administratifs et 8 .000 professionnels de la garde d’enfants, de l’accompagnement des seniors ou encore de l’entretien de la maison.
Spécialisé dans l’ingénierie des sols, de l’eau, des matériaux et de l’environnement, le groupe propose 200 postes d’ingénieurs et de techniciens à pourvoir avant la fin de l’année, dans toutes les régions.
Le géant de la santé maintient ses prévisions de 500 recrutements en CDI, essentiellement en région. Dans la vente, les technologies de l’information (IT) ou la relation client pour ce qui est de son activité d’assurance ; des aides-soignants et infirmiers pour sa branche soin.
Environ 2 .800 postes sont à pourvoir en CDI (dont la moitié environ en Ile-de-France), principalement sur des métiers techniques : conducteurs, préparation et maintenance des trains, aiguilleurs, ingénieurs, mécaniciens et agents commerciaux à bord des trains et en gare.
Leader mondial de l’inspection, de la certification et des essais en laboratoire, le groupe prévoit 1.500 embauches environ d’ici septembre 2021, en CDD et en CDI. Parmi les postes les plus recherchés : des inspecteurs en électricité, mécanique, levage et ascenseur, et des diagnostiqueurs immobiliers.
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Les complémentaires santé ont-elles empoché 2 milliards d’euros grâce au Covid-19? .
Les assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance devront s'acquitter d'une "contribution exceptionnelle" de 1,5 milliard d'euros en 2021 et 2022, pour compenser les économies de plus de 2 milliards qu’elles ont réalisées durant la crise sanitaire avec la chute des dépenses de santé. La crise a-t-elle été si profitable aux assureurs et mutualistes ?Le scénario d'une "contribution exceptionnelle" visant à récupérer le pactole amassé par les assureurs et mutuelles est acté depuis début août.